Cette réunion a été l’occasion pour le collectif de relancer ses activités qui étaient un peu calmes depuis fin 2012.
Plusieurs sujets ont été abordés :
- Salon Primevère (alter-écologie, libre, etc)
Nous serons présents au pôle des données libres et ouvertes sur l’Espace Numérique Libre les 8,9 et 10 mars 2013 (de 14 à 20h les 8 et 9, de 10 à 20h le 10), afin de présenter le concept de données ouvertes au grand public.
Chaque entité présente pouvait poser une question/réponse qui sera affichée : dans notre cas, il sera question de « portage de repas optimisable par l’utilisation des données de circulation » - Grand Lyon
Il est rappelé qu’ils proposent via leur catalogue de données des fichiers d’information trafic (via le système CRITER) au format KML.Il faudra tester s’ils sont mis à jour régulièrement (et comment on peut les afficher dans un service tiers, par exemple en se basant sur OpenStreetMap).
NDR : données statiques - Optimod’Lyon (projet d’aggrégation de données de transport)
D’après nos recherches rapides, il n’y est pas fait mention d’Opendata. L’objectif sera donc de consulter les responsables du projet à ce sujet. - SITRA (base de données d’informations touristiques de la région Rhône-Alpes)
Il faudra reprendre contact avec eux, pour voir ce qu’il est possible de faire en matière de prototypes de cartes touristiques (à noter qu’il ne s’agit pas totalement de données ouvertes, mais de mise à disposition) - Vélo’v
Paris ayant récemment conclu un accord avec l’exploitant du réseau Vélib, la société J.C. DECAUX, nous nous sommes renseignés sur le fait de répliquer l’expérience à Lyon : « une réflexion est en cours pour Lyon et en bonne voie pour que les données Vélo’v soient disponibles à court terme ».
Parallèlement il a été évoqué une étude universitaire basée sur les données Vélo’v (qui existent, mais fermées) : on tâchera de rencontrer l’équipe qui l’a réalisée. - REMERA (REgistre des MAlformations en Rhône-Alpes)
Un de leurs objectifs, au sein de l’ERSP, est principalement le croisement de données de santé publique, afin de faire ressortir les éventuelles tendances indiquant des problèmes localisés.
Nous tâcherons de les rencontrer, afin de leur présenter notre démarche (et en tant que fournisseur de données, ils sont concernés par l’Opendata). Des séances de sensibilisation à destination des personnels pourraient même être envisagées.
Un des objectifs à court terme va être d’avancer sur des démonstrateurs/prototypes « palpables », afin de plus facilement vulgariser le concept de données ouvertes.